le 21 décembre 2021
Je nous souhaite du bonheur dans nos cœurs. C’est une expression que j’utilise avec mes proches.
C’est un peu simpliste et naïf vous me direz. Elle me rappel ce qui est important comme humain. Dans ma jeunesse (années 1980) des écologistes et des philosophes ont prôné la simplicité volontaire. Une vision radicale de vivre ensemble. Qu’avons-nous fait de ces idées? Individuellement certains ont appliqué ces principes. Mais collectivement rien.
La croissance à l’infini de l’économie, des besoins d’évasion, de l’acquisition de biens et d’argent. Qui sont responsables? : oui l’État, oui les entreprises, oui les partis politiques, oui le système. Mais aussi l’individu qui refuse de choisir surtout quand c’est possible de maintenir son style de vie.
Pouvons-nous changer? Non. La stratégie de changer étape par étape nous pousse à des tensions sociales et individuelles insoutenables.
Pouvons-nous changer? Oui. Mais par la contrainte. De qui? Des dictats de la nature (changement climatique, pollution, etc.). Des pandémies à répétition.
Serons-nous plus heureux si nous écoutons la nature et si nous adoptons nos comportements aux pandémies?
Je nous souhaite de nous aimer les uns les autres en personne ou à distance.
C’est un bonheur durable et réutilisable à l’infini.
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